Matières à Reflexions

- La colère est mauvaise conseillère.

- Oui, à l'Europe des Nations, Non, qu dictat de Bruxelles.

- 1914 On disait tout le monde dans la tranchée. Aujourd'hui,tout le monde au supermarché 

- Les hommes sont des animaux résonnants, mais non raisonnables.

- Les qualités majeures de l'homme, c'est son esprit de liberté et sa curiosité; qui l'amène à la connaissance générale.

- Une pays qui ignore son passé, n'a pas d'avenir.

- Oui je suis un Européen géographique. L'Europe n'est pas un pays, ni une patrie. La France est mon pays et ma patrie.

- Le passé c'est la mémoire.

- La présent l'éphémère.

- Le futur une utopie, un espoir.

- La réalité, la frustration, la durété, ou la joie, le succes.

- La France qui souffre de ne pouvoir remplir son caddie la moitie plein.

- Notre drapeau me rappelle d'une autre époque. Une route blanche,une bordure de bleuets, et coquelicots, qui plient devant la brise, accompqgnés de pissenlits qui sèment au vent. Aujourd'hui, les bleuets et coquelicots ont presque disparu et la route est devenu sombre. Quant au pissenlits, sément ils encore ? 

Matière à Réflexion: La Démocratie

            En soi, la démocratie n'offre aucune garantie.  Elle nous laisse la chance de réussir, ou le risque d'échouer. Thomas Jefferson, troisième président des Etats Unis, déclarait " La démocratie nous promet de protéger la Vie, la Liberté et la recherche du bonheur".

            C'est donc à la fois un devoir à tenir, un défi à relever.  C'est la promesse que des êtres libres travaillant ensemble, peuvent se gouverner d'une manière qui servira leurs aspirations à la liberté de la personne, aux chances économiques et à la justice sociale.  C'est un défi, car la réussite de cette mission, repose sur les épaules des citoyens et de personne d'autre.

            Le gouvernement du peuple, par le peuple, suppose que les citoyens d'une société démocratique partagent ses avantages et ses fardeaux. En acceptant les devoirs qu'impose le Self-Governement; une génération cherche à préserver les legs durement acquis quant à la liberté individuelle, les droits de l'homme et la primauté du droit, pour les transmettre à ses descendants.  Au sein de chaque société et de chaque génération, le peuple doit, chaque fois reprendre l'œuvre démocratique, reprendre les principes du passé et les appliquer aux pratiques de l’âge nouveau et d'une société qui se modifie.

            Josef Bordsky, poète né en Russie, lauréat du prix Nobel, disait "Un homme libre ne blâme personne quand il tombe". Cela est vrai aussi des citoyens d'une démocratie, qui doivent se savoir responsable du destin de la société dans laquelle ils ont décidé de vivre.

  Aujourd'hui la liberté est une réalité en France.

  La fraternité est toute relative.

L'égalité, bien que inachevé à ce jour, doit rester l'objectif majeur d'une société harmonieuse.

En dernier ressort, un peuple a le gouvernement qu'il mérite.

LA CROISEE DES CHEMINS

Pour tout et tous, une chose est certaine ; d'ici la fin de ce siècle l’espèce humaine  sera différente ou ne sera plus. L’empreinte de l'homme (ce virus planétaire) par son orgueil nous propulse vers l'apocalypse. Dans le peu de temps qui nous reste, le retour en arrière est-il encore possible; espérons-le! Oui nous le pouvons, sous condition que, dès aujourd'hui nous changeons nos comportements de consommation; tout azimut, et cela jusqu'au dernier des 8 milliards de  locataires. En serons-nous capable? La nature par sa nature, est douce et violente; la prétention de L'homme de pouvoir dominer, contrôler cet état de fait est absurde. La nature peut tolérer certains excès, voire les accompagner. Oui nous avons besoin d'énergie sous toutes ses formes renouvelables, parfois fossiles, même nucléaire, hydraulique, humaine, solaire, océanique; reste, que le niveau de consommation demeure, accompagner d’un contrôle démographique le baromètre de ce qui est acceptable pour survivre, ou disparaître.